Qui a tué Martine ?

Dans chacun des véhicules se trouvant dans le cortège, un ou plusieurs passagers avaient un mobile pour tuer Martine. Chacun de ces possibles meurtriers a d’ailleurs mis au point un plan pour se débarrasser d’elle lors de cette journée.

Mais un ou une seule a réussi.

 

Premiers indices :

Martine a une sœur jumelle. On peut le comprendre grâce à la Grand-mère qui suggère qu’il leur restera une petite fille. On pouvait aussi la voir se balader sur la place de Solre avec la photo du faire- part qui était sur le journal.

 

• Cette sœur jumelle est en fait une espionne recherchée par des tueurs à gage qui tirent durant le cortège sur la voiture de Martine croyant tirer sur leur ennemie. Mais le véhicule ne comporte aucun impact de balle…

 

• Le maire aussi en veut à la sœur jumelle qui est au courant de sa maitresse. La confondant lui aussi avec Martine (il parle d’un grain de beauté sur la mauvaise oreille), il compte la tuer avec le registre qu’il a empoisonné. Mais le registre est dans sa propre voiture….

 

• La maquilleuse aussi confond Martine et sa sœur jumelle. Cette sœur veuve noire a eu de nombreux amants qu’elle a tués. L’un d’eux était le père de la maquilleuse. Elle cherche alors à se venger avec un rouge à lèvres au curare que Martine n’a pas mis (dixit sa mère).

 

• On peut aussi éliminer la mère de Martine. Elle, voulait supprimer Rodrigue, le père biologique de la mariée (qui conduisait la voiture) avec du poison. Poison qu’elle a avec elle, donc Martine n’a pas pu le prendre par erreur.

 

Deuxièmement :

 

Certaines des méthodes choisies pour l’éliminer ne pouvaient pas se faire à la vue des événements :

• Les parents de Pierre considérant Martine comme dépravée, ont engagé un tueur à gage pour l’éliminer. Tueur à gage bloqué en gare de Lille d’après les deux autres tueurs présents dans le cortège….

 

• Lolita voulait la supprimer pour se venger du fiasco de Londres et de la perte de son petit ami, grâce à la mousse du micro qu’elle avait empoisonné. Mais la mousse est dans le camion et n’a pas encore servi.

 

• Les témoins de la mariée, victimes d’un chantage aux photos compromettantes ont saboté les freins du véhicule. Mais à la vitesse à laquelle les véhicules circulaient, il été impossible de provoquer un accident mortel.

 

Les méthodes subtiles mais non abouties :

• Les grands parents hippies ne supportant pas de voir leur petite fille s’embourgeoiser ont mis des champignons mortels dans une tourte. Mais Martine étant allergique aux champignons (dixit les témoins) n’a pas pu manger la tarte. De plus, la tourte était encore dans la voiture des grands parents

 

• La vétérinaire considérant Martine responsable du suicide de son père a remplacé ses médicaments pour le cœur. Mais on apprend dans la voiture du curé que les médicaments ont été oubliés (dixit la bigote)

 

• La militante écolo voulant empêcher Martine de créer une ferme aux 1 000 vaches lui a confectionné des dragées aux graines de noix vomique dans un sachet qu’on retrouve non ouvert dans la voiture de la militante écolo.

 

• Enfin, la mère de famille qui a fait des études de cinéma avec Martine, ne supportait pas que celle-ci veuille raser le cinéma de son père. Elle a soi-disant une application capable de faire stopper le pacemaker de la mariée par un simple appel sur le portable de Martine. Mais Martine a oublié son téléphone qui se trouve dans la voiture du prêtre.

 

LA SOLUTION :

 

LE VRAI COUPABLE :    Le prêtre

On apprend dans la voiture du prêtre que Martine souffrait du cœur et faisait de l’asthme.

Dans ce même véhicule se trouve un inhalateur qui appartient soi-disant au prêtre (qu’il a subtilisé en réalité à Martine).

 

L’ARME DU CRIME : Le bouquet de fleur

On comprend aussi que celui-ci était fleuriste et que le bouquet de la mariée contient de l’ambroisie. Cette fleur provoque de violentes crises d’asthme.

 

LE MOBILE : Crime passionnel

avant de se consacrer à la vie cléricale, le prêtre a eu une petite amie dont il était éperdument amoureux : Martine. Il ne supportait pas que celle-ci l’ait quitté et ait le culot de venir se marier à Solre le Château.

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